Selon la chaîne Al-Manar qui cite des sources arabophones régionales, le Qatar qui s'est vu refuser à la porte du groupe de contact régional au sujet de la Syrie (composé de l'Iran, de la Turquie, de l'Egypte et de l'Arabie saoudite), en attribue la responsabilité à Riyad.
De ce fait, Doha cherche à se réserver une marge d'influence, concernant l'élaboration des options politiques pour résoudre la crise syrienne et cela, au travers de l'appui financier et en armements aux groupes terroristes armés en Syrie.
De l'autre côté, le Qatar souhaiterait persuader les pays occidentaux et de la région, de l'exigence d'une intervention militaire en Syrie, pour faire chuter son gouvernement et pour attiser la discorde auprès du peuple syrien.